Argent de crédit

L'argent de crédit est n'importe quelle revendication contre une personne physique ou légale qui peut être utilisée pour l'achat de marchandises et des services [5]. L'argent de crédit diffère du produit et l'argent de décret de deux façons : ce n'est pas payable sur demande (bien que dans le cas d'argent de décret, "le paiement de demande" est un acte purement symbolique depuis tout ce qui peut être exigé soient d'autres types de monnaie de décret) et est là un certain élément de risque que la valeur réelle sur l'accomplissement de la revendication ne sera pas égale à la valeur réelle attendue au moment de l'achat [5].
Ce risque arrive de deux façons et affecte tant acheteur que le vendeur.
D'abord c'est une revendication et le prétendant peut manquer à ses engagements (pas payent). Haut les niveaux de défaut ont des effets secondaires de provision destructifs. Si les fabricants et des fournisseurs de service ne reçoivent pas de paiement pour les marchandises ils produisent, ils n'auront pas les ressources d'acheter le travail et les matériels ont eu besoin de produire de nouvelles marchandises et des services. Cela réduit la provision, des prix d'augmentations et lève le chômage, déclenchant probablement une période de stagflation. Dans des cas{*affaires*} extrêmes, des défauts répandus peuvent causer un manque de confiance en prêt d'institutions et mener à la dépression économique. Par exemple, on considère l'abus d'accords de crédit une des causes significatives de la Grande Dépression des années 1930. [9]
La deuxième source de risque est le temps. L'argent de crédit est une promesse de paiement futur. Si le taux d'intérêt sur la revendication échoue à indemniser de l'impact combiné de l'inflation (ou la déflation) le taux et la valeur de temps d'argent, le vendeur recevront la valeur moins réelle que prévu. Si le taux d'intérêt sur la revendication surindemnise, l'acheteur payera plus qu'attendu.
Pendant les deux derniers siècles, l'argent de crédit est fermement monté comme la source principale de création d'argent, remplaçant progressivement le premier produit et l'argent ensuite représentatif. En argent de crédit de nombreux cas a été converti en argent de décret (voir ci-dessous), comme les gouvernements ont renforcé des certains instruments de crédit privés (de premiers billets de banque de banques centrales, les certains types alors postérieurs de dépôts aux banques), convertissant ainsi des billets de banque centraux à l'offre légale et d'autres types de notes (les certificats de dépôt de moins que d'une certaine valeur) à un statut non très différent de l'argent de décret, puisqu'ils sont renforcés par le pouvoir{*la puissance*} du gouvernement central pour racheter finalement avec la perception des impôts.
Un problème particulier avec l'argent de crédit est que sa provision se déplace conformément aux cycles de crédit/affaire (familièrement : "prospère"{*"gronde"*} et "des bustes"). Quand les prêteurs sont optimistes (notamment{*notablement*} quand le niveau de dettes est bas), ils augmentent leur activité de prêt, ainsi la création le nouvel argent. Cela peut aussi déclencher l'inflation et des marchés haussiers. Quand les créanciers sont pessimistes (par exemple, quand le niveau de dettes est perçu comme trop haut, ou l'activité de prêt imprudente dans le passé a abouti aux situations où on s'attend à ce que des défauts suivent), alors les créanciers réduisent leur activité de prêt et l'argent devient "serré" ou "non liquide." Les Faillites et des récessions du marché (des marchés baissiers prétendus) suivent alors .